Magnifique séjour, 4 jours ensoleillés (ou presque) dans cet immense Parc National du Fiorland où il tombe 7 mètres de pluie annuellement ! Nous avons été bénis des dieux encore une fois ! Une épaisse forêt pluviale tempérée couvre des pentes abruptes qui enserrent 14 fjords (le plus grand a 40 km de long) et 5 grands lacs glaciaires. Avec des sommets atteignant 2750 m d’altitude, des falaises s’élevant de 1200 m au-dessus des fjords profonds et des chutes plongeant de 160 m, le Fiorland recèle des paysages extraordinaires qui attirent des visiteurs des quatre coins du monde. Encore de superbes randos nous offrant des paysages époustouflants, des sites de camping sauvages en pleine nature, des vues 360 degrés sur des hautes montagnes et leurs falaises abruptes et leurs pics majestueux !
Partis en décembre 2004, Lucie et Réal ont voyagé autour du monde pendant 5 ans avec leur catamaran, le Sol Maria. En novembre 2009, ils ont vendu le Sol Maria et se sont envolés en Australie où ils ont acheté un motorisé pour découvrir cet immense pays. Ils n'ont pas abandonné la vie sur l'eau, ils comptent bien louer des catamarans en Thailande, aux Seychelles ou ailleurs pour renouer avec le plaisir de naviguer de temps à autre.
Il faut aussi souligner la gentillesse de deux pêcheurs kiwis qui nous ont offert une belle grosse truite arc-en-ciel (18 po long, 6 lbs environ)… Un soir, nous sommes campés près d’une rivière, à la brunante, on frappe à notre porte, les pêcheurs nous demandent si on veut du poisson, ils nous disent adorer pêcher mais ils ne mangent pas de poisson ! Bien sûr que nous acceptons avec grand plaisir et le lendemain, quel régal ce fut ! Nous nous sommes bien promis l’an prochain d’apporter nos cannes à pêche puisque la Nouvelle-Zélande regorge de lacs et de rivières poissonneux. La pêche est presqu’un sport national !
Et ce ne fut pas la première fois que les kiwis ont été aussi généreux et accueillants envers nous. Ainsi, alors que nous nous cherchions un endroit pour dormir près d’une ville en bord de mer, on se présente dans un cul de sac donnant sur la mer avec quelques maisons aux environs. On hésite un peu ne sachant pas si on dérange mais voilà que, d’un grand signe de la main, un homme nous invite à y demeurer pour la nuit. On échange un peu, il s’appelle Grant, il habite tout près et il est venu surveiller ses enfants qui se baignent à la plage. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque, le lendemain matin alors que nous déjeunions, il est venu nous offrir 6 œufs tout frais sortis de son poulailler ! Beau geste illustrant bien l’accueil chaleureux que réservent les kiwis aux étrangers visitant leur pays.
Et ce ne fut pas la première fois que les kiwis ont été aussi généreux et accueillants envers nous. Ainsi, alors que nous nous cherchions un endroit pour dormir près d’une ville en bord de mer, on se présente dans un cul de sac donnant sur la mer avec quelques maisons aux environs. On hésite un peu ne sachant pas si on dérange mais voilà que, d’un grand signe de la main, un homme nous invite à y demeurer pour la nuit. On échange un peu, il s’appelle Grant, il habite tout près et il est venu surveiller ses enfants qui se baignent à la plage. Quelle ne fut pas notre surprise lorsque, le lendemain matin alors que nous déjeunions, il est venu nous offrir 6 œufs tout frais sortis de son poulailler ! Beau geste illustrant bien l’accueil chaleureux que réservent les kiwis aux étrangers visitant leur pays.
Lac Wakatipu, Queenstown et les environs, 12 au 16 fév. 2009
Queenstown a la réputation d’être une ville très touristique et elle l’est mais son site au bord du lac Wakatipu est tellement exceptionnel qu’on ne peut s’empêcher de s’y arrêter et d’y flâner un peu ! On y offre toutes les activités d’aventure qui sont très populaires en NZ et auprès des touristes : saut à l’élastique (bungy), rafting, parachute, parapente, jet-boat et j’en passe. Nous avons préféré de belles randonnées pédestres autour du lac et dans les montagnes qui entoure ce magnifique le lac glaciaire qui fait plus de 60 km de long !
Kingston, 10 fév. 2009
C’est depuis 1909 au village de Kingston, situé à la pointe sud du lac Wakatipu, que le train à vapeur débarquait les voyageurs qui rembarquaient aussitôt sur des bateaux aussi à vapeur à destination de Queenstown. Les bateaux à vapeur ont depuis longtemps disparu mais les habitants de Kingston ont réussi à conserver leur train qui effectue encore un trajet quotidien d’une heure et quart pour le plus grand plaisir des touristes.
Nous avons eu la chance d’arriver à Kingston au moment où le Kingston Flyer (il était réputé très rapide, d’où ce surnom) arrivait en gare avec ses plus beaux «tchou-tchou» suivis de grands sifflements et de jets de vapeur. Ensuite, nous avons pu assister aux préparatifs pour le prochain voyage : les cheminots ont fait le plein de charbon, d’eau et de bois d’allumage, ils ont nettoyé à la vapeur les sabots de frein et retiré les cendres de charbon de la fournaise. Ils ont eu la gentillesse de nous permettre de monter à bord et, pour l’instant d’un moment, de nous sentir chef de train !
Nous avons eu la chance d’arriver à Kingston au moment où le Kingston Flyer (il était réputé très rapide, d’où ce surnom) arrivait en gare avec ses plus beaux «tchou-tchou» suivis de grands sifflements et de jets de vapeur. Ensuite, nous avons pu assister aux préparatifs pour le prochain voyage : les cheminots ont fait le plein de charbon, d’eau et de bois d’allumage, ils ont nettoyé à la vapeur les sabots de frein et retiré les cendres de charbon de la fournaise. Ils ont eu la gentillesse de nous permettre de monter à bord et, pour l’instant d’un moment, de nous sentir chef de train !
Oretaki, 9 fév. 2009
Une très belle rencontre avec nos amis marins Karine et Jean-François du catamaran Intiaq battant pavillon suisse. Notre première rencontre avec eux date de 2005 alors que nous étions voisins de chantier à Trinidad lors de notre première cale sèche avec le Sol Maria. Depuis, nous nous étions revus rapidement en Martinique puis à Raiatea dans le Pacifique il y a quelques mois. En décembre dernier, nous nous étions retrouvés à Whangarei, à la marina où nous avons laissé le Sol Maria et eux, Intiaq. Ils projetaient aussi de visiter la Nouvelle-Zélande en campervan; ils sont venus visiter le nôtre et ont aussitôt décidé que c’était le modèle qu’il désirait acheter. Sitôt dit, sitôt fait ! Ils ont fait route en sens inverse de nous de sorte que nous nous sommes croisés dans le sud de l’Île du Sud. De belles retrouvailles autour d’une excellente fondue suisse (bien sûr) préparée par le chef Jean-François ! Échanges d’informations sur les sites de campings dénichés, sur les beaux endroits visités, sur nos projets de navigation respectifs, bref nous nous sommes couchés très tard ! Quelle belle fraternité que ce monde marin, nous en avons eu encore une fois un témoignage éloquent ! Merci Karine et Jean-François, nous nous reverrons sous peu, bonne route en NZ !
Curio Bay, 8 fév. 2009
Les pingouins aux yeux jaunes (yellow-eyed penguins), quelle rencontre inoubliable ! Plus d’une centaine de photos mais surtout, encore une fois, un beau cadeau et tout un spectacle de la nature !
C’est l’un des plus rares pingouins au monde ! Il niche seulement sur la côte sud de la Nouvelle-Zélande et dans ses îles environnantes. Ces pingouins nichent à terre, à 200 ou 300 m du rivage, parfois jusqu’à 1 km ! Nous avons eu la chance d’y être durant leur période reproduction. Les petits étant encore au nid, les parents vont, à tour de rôle, chasser à la mer et ramènent la bouffe dans leur estomac et la régurgitent aux petits, bec à bec. Il s’agit d’être là en fin d’après-midi et vous les voyez sortir de l’eau et traverser la plage pour se rendre à leur terrier. Réputé craintifs, on nous disait ailleurs qu’il ne fallait pas qu’on soit vu sinon ils ne sortiraient pas de l’eau. Des caches étaient construites à 200-300 m pour nous dissimuler et on les apercevait à peine ! Voilà que curieusement (!) à Curio Bay, les pingouins jaunes ici ne sont pas du tout craintifs, ils se baladent à-travers les touristes, attendent qu’on leur cède leur passage ou font le tour tout simplement ! Wow ! Quel spectacle ! À Curio Bay, ils sont protégés, on piège leurs prédateurs et les chiens sont interdits, c’est peut-être pour cela qu’ils se sentent si en confiance. Toutefois, c’est une espèce en danger de disparition et lorsqu’on nous dit que le taux de mortalité des jeunes pingouins en mer avant qu’ils soient en âge de se reproduire est de 75% à 80%, on se trouve privilégié de pouvoir les observer de si près. Merci la vie !
C’est l’un des plus rares pingouins au monde ! Il niche seulement sur la côte sud de la Nouvelle-Zélande et dans ses îles environnantes. Ces pingouins nichent à terre, à 200 ou 300 m du rivage, parfois jusqu’à 1 km ! Nous avons eu la chance d’y être durant leur période reproduction. Les petits étant encore au nid, les parents vont, à tour de rôle, chasser à la mer et ramènent la bouffe dans leur estomac et la régurgitent aux petits, bec à bec. Il s’agit d’être là en fin d’après-midi et vous les voyez sortir de l’eau et traverser la plage pour se rendre à leur terrier. Réputé craintifs, on nous disait ailleurs qu’il ne fallait pas qu’on soit vu sinon ils ne sortiraient pas de l’eau. Des caches étaient construites à 200-300 m pour nous dissimuler et on les apercevait à peine ! Voilà que curieusement (!) à Curio Bay, les pingouins jaunes ici ne sont pas du tout craintifs, ils se baladent à-travers les touristes, attendent qu’on leur cède leur passage ou font le tour tout simplement ! Wow ! Quel spectacle ! À Curio Bay, ils sont protégés, on piège leurs prédateurs et les chiens sont interdits, c’est peut-être pour cela qu’ils se sentent si en confiance. Toutefois, c’est une espèce en danger de disparition et lorsqu’on nous dit que le taux de mortalité des jeunes pingouins en mer avant qu’ils soient en âge de se reproduire est de 75% à 80%, on se trouve privilégié de pouvoir les observer de si près. Merci la vie !
Péninsule de l’Otago, 6-7 fév. 2009
Longue de 24 km, en face de Dunedin, cette péninsule est remarquable par sa flore et sa faune rares. On en retient une route étroite et sinueuse en bord de mer, un paysage vallonné rempli de moutons, de grands bras de mer formant presque des lacs qui s’assèchent à marée basse, des dunes de sable à dévaler, des otaries qui se prélassent au soleil sur de grandes plages dorées…
Dunedin, 3 fév. 2009
Dunedin, la capitale de l’Otago a plus d’un lien avec l’Écosse, entre son nom – Dunedin est le terme gaélique qui désigniat Édimbourg -, celui de plusieurs de ses rues et les traditions encore très vivaces apportées par les pionniers presbytériens qui arrivèrent en 1848. Bon nombre d’édifices publics victoriens ont été conservés et comptent parmi les plus beaux du pays. La gare ferroviaire est peut-être le plus bel édifice en pierre du pays.
Moeraki Boulders, 2 fév. 2009
Éparpillés sur 50 m de plage, juste un peu au nord de Dunedin, les Moeraki Boulders, des rochers, sont assez impressionnants. Hémisphères presque parfaits dont la circonférence peut atteindre 4 m, ils se sont formés au fond de la mer il y a environ 60 millions d’années par accumulation de dépôts calcaires autour d’un noyau.
La version maorie est différente : il s’agirait de paniers de nourriture contenus dans une des grandes pirogues qui ont amené leurs ancêtres polynésiens. La pirogue aurait fait naufrage et sa coque se serait alors transformée en un récif et les vanneries servant à entreposer les provisions en rochers !
À vous de choisir l’explication qui vous plait le plus !!!
Chose certaine, l’observation de ces grosses boules fut un moment agréable, la nature ne se lasse pas de nous surprendre !
La version maorie est différente : il s’agirait de paniers de nourriture contenus dans une des grandes pirogues qui ont amené leurs ancêtres polynésiens. La pirogue aurait fait naufrage et sa coque se serait alors transformée en un récif et les vanneries servant à entreposer les provisions en rochers !
À vous de choisir l’explication qui vous plait le plus !!!
Chose certaine, l’observation de ces grosses boules fut un moment agréable, la nature ne se lasse pas de nous surprendre !
Oamaru, 30 janv.-1er fév. 2009
En bord de mer, la principale ville de l’Otago, Oamaru nous a charmés par ses beaux édifices anciens d’allure victorienne construits dans les années 1880 en pierre de calcaire locale de couleur crème (ici le Criterion Hotel de 1877). C’est d’Oamaru qu’en 1882 partit pour l’Angleterre la première cargaison de mouton congelé marquant le début d’un commerce essentiel pour la Nouvelle-Zélande. Son jardin botanique qui date de 1876 est aussi un pur délice pour les yeux et le photographe !
Mont Cook, Sir Edmund Hillary Alpine Center
Considéré par plusieurs comme le plus grand néozélandais de tous les temps, Sir Edmund Hillary fut le premier à gravir la plus haute montagne au monde, l’Everest (8 850m), avec le sherpa Tenzing Norgay en 1953. Nous avons passé plusieurs heures dans la grande exposition qui lui est consacrée au Mont Cook, là où il a fait ses premières ascensions en tant qu’alpiniste. Humble et préoccupé par la justice sociale, il a ensuite parcouru le monde pour recueillir des fonds pour construire des hôpitaux et des écoles au Népal. Son décès en janvier 2008 à l’âge de 89 ans a créé beaucoup d’émoi tant en Nouvelle-Zélande qu’au Népal.
Heureux parmi de si belles montagnes
Superbe séjour au Mont Cook, trois jours de belles randos dans des paysages de géants. Ici Réal pose fièrement du haut du mont Sebastpool avec en arrière plan le village du Mt Cook, la vallée Hooker et le mont Cook, le plus haut sommet de la Nouvelle-Zélande (3 754m, le pic enneigé le plus à droite).
Paysage du Canterbury, 24 janv. 2009
Cela ressemble à cela, la région du Canterbury située à l’est des Alpes, près de Christchurh. De vastes plaines cultivées au pied de ces majestueuses montagnes. Les champs sont jaunes et les montagnes grises car c’est un climat plutôt sec, le vent chaud descendant en rafale sur le versant oriental des montagnes. L’hiver, les sommets de ces montagnes sont couverts de neige.
Banks Peninsula, 22 janv. 2009
Formée par l’éruption de deux volcans, Banks Peninsula abrite le port commercial de Christchurch (Lytlelton) mais aussi de nombreuses baies et bras de mer. C’est un véritable paradis pour la rando, car elle offre toujours de superbes vues dégagées. Par un beau ciel bleu, nous avons gravi le mont Herbert, 901 m. Nous avons été bien récompensés de nos efforts par une vue 360 degrés de la péninsule.
Jolie, jolie !!!
Ce qu’elle est jolie n’est-ce pas ? On n’a pas pu s’empêcher d’arrêter et de prendre quelques photos… elle était seule et semblait s’ennuyer… elle a accouru pour nous voir lorsque nous sommes arrêtés.
Birdling Flats, Banks Peninsula, 21 janv. 2009
En bordure de la Péninsule de Banks, près de Christchurch, on fait dodo sur une immense plage de cailloux qui fait des kilomètres de long. Mais, oh, surprise ! Ce ne sont pas seulement de beaux cailloux ronds mais aussi des agates de toutes les couleurs qu’on retrouve sur cette plage ! Ce fut très agréable de marcher sur cette plage de cailloux, les yeux rivés au sol à la recherche de belles agates. Nos souvenirs de Nouvelle-Zélande se sont donc alourdis de quelques pierres !
Le jardin botanique de Christchurch, 19 janv. 2009
Notre tournée des jardins botaniques se poursuit. Celui de Christchurch est aussi superbe. La roseraie nous attire comme toujours mais ici, on chérit aussi les dahlias. Ce qu’ils sont beaux ! Il y en a de toutes les formes et de toutes les couleurs, quel beau spectacle !
Il y a plein d’eucalyptus en Nouvelle-Zélande, je ne le savais pas !
Il y a plein d’eucalyptus en Nouvelle-Zélande, je ne le savais pas !
Arthur’s Pass, 17 janv. 2009
Arthur’ Pass est l’une des deux routes qui traverse les Alpes du sud néo-zélandaises. Ainsi en moins de 3 heures, on passe de la mer de Tasmanie à l’ouest à l’Océan Pacifique à l’est en moins de 4 heures (250 km). Même si c’était très nuageux, nous avons pu jouir de jolis panoramas et apprécier tous les efforts faits au fil des années par les générations successives d’ingénieurs pour construire et améliorer cette route.
L’Arthur’s Pass constitue un endroit de prédilection pour les Kéas, ces jolis perroquets de montagne. D’un beau vert avec le dessous des ailes rouges, ils sont réputés intelligents mais aussi très «destroy». Avec leur bec crochu, ils s’attaquent à tout mais affectionnent particulièrement le caoutchouc. Ils vivent en groupe et lorsqu’ils s’y mettent, ils peuvent détruire en peu de temps un intérieur de voiture, un pneu, une tente, une paire de bottes de rando etc. Lorsqu’on fait de la rando en montagne, il ne faut rien laisser dehors sans surveillance sinon on risque gros !
L’Arthur’s Pass constitue un endroit de prédilection pour les Kéas, ces jolis perroquets de montagne. D’un beau vert avec le dessous des ailes rouges, ils sont réputés intelligents mais aussi très «destroy». Avec leur bec crochu, ils s’attaquent à tout mais affectionnent particulièrement le caoutchouc. Ils vivent en groupe et lorsqu’ils s’y mettent, ils peuvent détruire en peu de temps un intérieur de voiture, un pneu, une tente, une paire de bottes de rando etc. Lorsqu’on fait de la rando en montagne, il ne faut rien laisser dehors sans surveillance sinon on risque gros !
Tant qu’à parler de peste, en voici un autre, l’opossum, l’ennemi no 1 des forêts de la Nouvelle-Zélande. Originaires d’Australie, introduits en Nouvelle-Zélande en 1837 pour leur fourrure, sans prédateur naturel et avec plein de nourriture, ils se sont multipliés rapidement. On estime qu’il y a environ 70 millions d’opossum en Nouvelle-Zélande ! Les opossums se nourrissant du feuillage des arbres, ils sont en train de détruire les forêts de la néo-zélandaise. Dans les parcs, on essaie de contrôler la population en mettant des trappes mais, plus globalement, c’est un problème environnemental très important en Nouvelle-Zélande.
Pancakes Rocks à Paparoa National Park (près de Punakaiki), 15 janv. 2009
Ne dirait-on pas des piles de crêpes ? Ici, l’érosion conjuguée du vent, de la pluie et de la mer a donné aux rochers de la côte cet aspect en évidant des fines couches de roche meuble prise entre des strates calcaires plus dur. Cette section de la côte ouest est absolument superbe, la mer de Tasmanie y ayant sculpté nombre de rochers, de baies et de plages. La route longe la côte, les villages sont petits et peu nombreux car les plages ne sont pas propices à la baignade, elles sont même dangereuses à cause des forts courants qui les balaient. Ce ne sera pas pour aujourd’hui la baignade !
Westport, Visite des mines de charbon de Stockton, 13 janv. 2009
Bien que Westport doit sa naissance à la ruée vers l’or des années 1860 sur la côte ouest, c’est l’exploitation du charbon qui la fait vivre depuis longtemps. Nous avons visité ces mines à ciel ouvert qui recèlent du minerai de charbon très pur. Les installations sont modernes, la machinerie gigantesque ! Le temps gris et la brume au sommet de la montagne donnaient aux lieux un air fantomatique. Nous nous sommes bien amusés à poser devant ces mastodontes mais pour rien au monde, Réal changerait son Sol Maria pour une telle machine !
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