Les premiers colonisateurs européens s’installent en Nouvelle-Zélande en 1814. Les maoris sont hospitaliers et leur servent de guide pour découvrir le territoire. Ils profitent du commerce avec les européens et bénéficient des innovations apportées par les pakéhas (nom donné par les maoris aux européens). L’impact de ces colons fut considérable sur la société maorie. Des maladies comme la rougeole et la variole causèrent des ravages tandis que les armes à feu échangées contre des produits locaux donnèrent une ampleur nouvelle aux conflits tribaux (l’histoire se répète…!).
En 1840, le gouvernement britannique, craignant que les Américains ou les Français revendiquent le pays, signe avec les principaux chefs maoris le traité de Waitangi. Celui-ci faisait officiellement de la Nouvelle-Zélande une colonie de l’empire britannique. En échange du droit d’acheter des terres, les maoris se virent accorder les mêmes privilèges que tout citoyen britannique. Une clause leur assurait aussi la possession plein, exclusive et paisible de leurs terres, domaines forestiers, pêcheries et autres propriétés. Des divergences entre les versions anglaise et maorie du texte entraînèrent des controverses qui sont toujours d’actualité.
En 1840, le gouvernement britannique, craignant que les Américains ou les Français revendiquent le pays, signe avec les principaux chefs maoris le traité de Waitangi. Celui-ci faisait officiellement de la Nouvelle-Zélande une colonie de l’empire britannique. En échange du droit d’acheter des terres, les maoris se virent accorder les mêmes privilèges que tout citoyen britannique. Une clause leur assurait aussi la possession plein, exclusive et paisible de leurs terres, domaines forestiers, pêcheries et autres propriétés. Des divergences entre les versions anglaise et maorie du texte entraînèrent des controverses qui sont toujours d’actualité.